Audition ce matin en commission Culture de plusieurs hauts-fonctionnaires du ministère de l’Éducation au sujet de la « Mission Exigence des savoirs » (sic). On pourra regretter que la dite mission soit incapable pour se nommer d’utiliser la langue français et non un sabir technocratique, mais passons…
L’essentiel est que désormais l’alarmant état général de l’instruction en France ne soit plus nié. Reste à désormais à ce que cette annoncée « exigence des savoirs » se traduisent par une exigence de résultats. Grammaire, conjugaison, orthographe… on se rend compte aujourd’hui qu’il arrive même que de nouveaux enseignants en école primaire ne maitrisent pas ces « savoirs » ! Sur ce sujet comme sur tous les autres, c’est une véritable révolution qu’il faut mettre en place.